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Gaston Gumowski

10 juin

C'était quoi la question, déjà ?

Gaston souffle sa 42e bougie, bousculé comme à chacun de ses anniversaires par son père qui espère voir se prolonger la lignée des Gumowski. Pour l’heure, le seul projet de Gaston se résume à vivre au jour le jour, à profiter de ses quelques amis. C’est d’ailleurs l’un d’eux, Henri, qui l’embarque mine de rien dans une petite aventure estivale : venir prêter main-forte à une petite Jeanne fraîchement arrivée dans la région et bien décidée à redonner vie à une ancienne auberge.

11 juin

Tout se paie.

C’est une matinée qui débute par une gueule de bois. Charlotte, la sœur cadette de Gaston, lui envoie un SMS de bon anniversaire avec un léger retard. Ce dernier décide de la faire marcher un moment, en guise de « représailles ». Parlant représailles, d’ailleurs, Gaston fomente une autre petite vengeance : la veille, jour de pluie, Henri lui a posé un lapin au moment de décharger la première livraison destinée à l’auberge.

14 juin

Ooops...

Retour rapide sur la journée de vendredi, en mode rattrapage dans le journal de Gaston. N’ayant toujours pas rencontré « la petite patronne », Gaston a décidé de faire un saut rapide à l’auberge. À peine garé, il est cueilli par Henri qui lui demande d’aller récupérer le futur « directeur adjoint ». Le Toyota lui faisant des misères, Gaston se retrouve à faire un malencontreux démarrage en trombes, ravageant ainsi l’espace gravillonné qu’Henri s’évertue à entretenir avec passion.

17 juin

Trompe le monde

Lundi, c’était le grand jour. À nouveau avec un restant de gueule de bois carabinée, Gaston devait se rendre au petit-déjeuner inaugural et réservé au personnel de l’auberge. L’occasion de faire enfin la connaissance de Jeanne et, accessoirement, du reste de l’équipe. En cours de route, Gaston allait ramasser une auto-stoppeuse bien inattendue : une gamine fort rigolote et éveillée qui n’était autre qu’Adèle, la fille de la patronne.

19 juin

Monsieur Vincent

Gaston écrit au sujet de la petite routine qui se met en place dans son rôle de chauffeur livreur pour l’auberge. Mais surtout de sa première vraie « course » d’apprenti taxi pour un résident : M. Vincent Mem. Un homme discret, réservé et paraissant très fatigué, qui sait se nourrir des paysages. Un homme simple et silencieux qui touche Gaston.

22 juin

Comme une perturbation dans la faune

L’indolence et le retrait n’aident pas vraiment Gaston à redevenir un animal social. Mais au fond, malgré ce (tout) petit pas vers les autres dans cet inattendu job d’été, le souhaite-t-il vraiment ?

23 juin

Les bois noirs

Être sur ses terres, voilà une expression bien ambiguë. Pour Gaston, ça signifie replonger ses racines pour naître une nouvelle fois, absous et adoubé, conscient qu’il n’est qu’une infime partie d’un grand tout plus sauvage.

24 juin

« Handle with care »

Les insomnies se suivent mais ne seront plus tout à fait comme avant : maintenant, Gaston peut compter sur Lulu. L’occasion cette fois de sceller l’amitié par quelques bons verres et un conseil des plus judicieux.

27 juin

Aube et crépuscule. Et vice versa.

Parfois, pour se défaire des obsessions qui hantent les pensées, il faut laisser faire la plume et tout coucher sur papier. Mais pas toujours. Gaston a fait son choix, il devra assumer.

3 juillet

So long and thanks for all the fish

Un paisible lac de montagne, une barque, quatre pêcheurs, un grand-père fantôme, un poisson vicelard, une multitude de possibilités.

4 juillet

Promenade au bout de la nuit

Quand on n’a pas de tête, il vaut mieux avoir des jambes, dit-on. Et comme pour voyager, il est préférable de le faire léger, la tête, on doit pouvoir s’en passer.

12 juillet

Jonctions

Gaston s’est offert une semaine entre parenthèses. Le temps de recoller quelques morceaux de sa vie, de ses vies. L’essentiel étant maintenant fait, il est temps de reprendre son petit bonhomme de chemin. Et de regarder vers l’horizon.

12 juillet

Saute-moi au cou

Même pour l’apprenti taxi qu’est Gaston, quelques courses restent plus mémorables que d’autres.

15 juillet

Allez Loulette

Qui a bien pu inventer les fêtes nationales ? Et les bals qui les accompagnent ? Qu’on l’amène à Gaston, il lui réserve des plumes et du goudron.

16 juillet

Apprentis animaux sociaux

La logistique ? C’est tout bon. La communication ? Ah. Là, ça se corse un peu pour Gaston. Même lorsqu’il s’agit d’une simple invitation à un repas champêtre entre amis.

18 juillet

Le paradis peut attendre

Ce n’est que le récit d’un repas entre amis, un instant simple de bonne humeur partagée que Gaston avait presque oublié. TL;DR : C’était bien.

19 juillet

Proie ? Ou prédateur ?

Après des soirées épiques, gueule de bois ou pas, certains atterrissages peuvent s’avérer délicats. Allez. Un sac en papier, et on respire, Gaston. Tout va bien se passer…

21 juillet

Paradoxal

Certaines siestes reposent moins que d’autres. C’en est parfois effrayant.

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