Irène-Aimée est arrivée le lundi 15, pour l’ouverture de l’auberge, envoyée par sa mère qui souhaite qu’elle réfléchisse à son avenir. Son séjour est pris en charge par sa marraine Catherine. Sur le trajet elle a revu sa tante Lucille qui l’a conduite à l’auberge en voiture et lui a laissé pour son mois de villégiature deux gros cartons d’archives, apparemment ayant appartenu a son grand-père, en lui disant que peut-être elle pourrait apprendre des choses sur la famille. Irène-Aimée n’a pas encore osé les ouvrir. À l’auberge, elle a pour l’instant lié connaissance avec Calliste, qui lui a raconté son burnout et l’a confortée dans l’idée qu’elle n’était pas faite pour être consultante ou trader comme ses frères, sœurs ou cousins, tous bien casés dans la vie.
18 juin