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Jeanne Lalochère

1 juin

Presque prêts !

Dans un texte préliminaire à l’ouverture, Jeanne évoque, notamment, l’achat de cahiers qu’elle déposera dans chaque chambre, le recrutement probable d’une excellente cuisinière venue de La Nouvelle-Orléans, la faible réception 3G et 4G.

13 juin

Plus que deux petits jours…

Deux jours avant l’ouverture aux clients, Jeanne fait part de son excitation. On apprend qu’elle a un frère, Gabriel, dont elle est très proche et qui l’a aidée financièrement à monter le projet. Elle raconte plusieurs des entretiens d’embauche du personnel (Henri, Janette, Léandre, Denis…) et évoque avec tendresse son “Papi du Gers”, syndicaliste convaincu.

14 juin

Quel numéro ce Léandre !

En écho au texte de Léandre de la veille, Jeanne écrit à sa cousine Violette que ce qu’il a pris pour des cartes de visite étaient en réalité des badges pour le personnel. La colère de Léandre ne l’a pas inquiétée, elle pense qu’il est juste un peu fantasque, comme la plupart des membres du personnel d’ailleurs.

17 juin

Tout enfant, tu dormais près de moi, rose et fraîche

En écho au texte de Lucien, le veilleur de nuit, paru dans la nuit et mentionnant une alerte incendie, Jeanne évoque une discussion avec sa pétillante fillette concernant le déclenchement de l’alerte incendie, l’école buissonnière du lundi matin et le morceau de fromage laissé par l’enfant le samedi soir. L’enfant n’en paraît guère traumatisée et pense même qu’elle a rendu service à sa mère en la rassurant sur le bon fonctionnement de l’alerte.

19 juin

C'était un 15 juin

Jeanne explique pourquoi le risque d’incendie la préoccupe tant. Elle raconte qu’alors qu’elle emménageait dans un nouveau logement alors qu’elle avait dix-neuf ans un incendie dû à un court-circuit avait tout détruit chez elle en quelques minutes.

22 juin

Jouer à la marchande

Jeanne évoque la position stratégique que lui offre le comptoir de la réception pour observer la clientèle. On comprend aussi qu’elle sait parfaitement pourquoi Henri disparaît de la circulation tous les après-midi. Elle fait part de sa surprise du profil de ses clients assez inhabituel : souvent solitaires et pour de longs séjours.

24 juin

Délices du jour

Jeanne, très détendue, profite paisiblement de sa première journée de repos. Mathilde est venue passer la journée avec Adèle dans leur appartement. Adèle retrouve comme chaque semaine son père Tiago, qui vit à Porto, en visio-conférence. Jeanne évoque la complicité entre les deux filles et la période si particulière entre enfance et adolescence dans laquelle se trouve Adèle.

25 juin

SMS à Gabriel

Le moins qu’on puisse dire c’est que Jeanne n’a pas l’air emballée à l’idée d’aller à la kermesse de l’école samedi prochain. Elle envoie un SMS à son frère.

27 juin

Retour de kermesse, retour de karma

À la kermesse Jeanne a dû faire face à des questions subtiles (non) sur son statut marital et croisé finalement sans trop de malaise Martin, un amant passager. Elle se demande comment concilier son investissement professionnel, qui lui procure beaucoup de satisfaction et une vie sexuelle active.

29 juin

Quatorze ans

Samedi soir, Jeanne a ourdi avec Janette la blague qui a maintenu Lucien entre comptoir et WC. Dimanche elle s’est entretenue avec M. Vergne des documents qu’elle avait trouvés lors de la rénovation de l’auberge et qui pourraient avoir une valeur historique.

3 juillet

Balances

Dialogue entre Henri et Jeanne. Henri vient trouver Jeanne pour lui demander si elle est d’accord pour qu’Adèle vienne à Bourg avec lui samedi : il doit y accompagner Natou à la recherche de vêtements chauds et Adèle veut l’aider à choisir.

8 juillet

Châteaubriant est dans le Gers, Stains aussi

Jeanne revient sur ce qu’elle a appris hier soir par Malia au sujet de son grand-père. Il est né en captivité pendant la guerre, à Châteaubriant et non dans le Gers comme son frère et elle le croyaient. Elle a aussi découvert par Malia qu’il vivait et militait au Parti communiste à Stains jusqu’en 1965.

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