J’ai une santé de fer. Voila cinquante ans que je vis à la campagne : que je me couche avec le soleil, et que je me lève avec les poules.[1] Mais là s’en est trop, je déclare forfait, ma vie est foutue, je suis annihilé et direction le costume en contreplaqué !
C’est vrai quoi, on peut pas lutter, des heures passées à arranger proprement et voilà qu’un quinze tonnes… J’ai plus les mots !
Exeunt le jardin zen et les jardinières fleuries ; rendez-vous ce soir derrière l’auberge pour la cérémonie, pas de fleurs ni de couronnes, la famille seulement.
Merci pour eux.
Note
[1] J’adore ce film.
1 Commentaire de Sacrip'Anne -
Oh mon pauvre Henri… que je suis désolée pour toi !
2 Commentaire de Natou auteur -
Fou rire !!!! Non, pardon, c’est le cœur emplit de larmes de j’accompagne ton deuil ;-)
3 Commentaire de Pep -
Aïe. :-/
Mes plus sincères condoléances.
4 Commentaire de Kozlika -
Oh Henri, les gens sont d’une méchanceté, vraiment. Tu pourrais attendre vendredi pour mourir ? Adèle serait tellement déçue de ne pas te voir à son anniversaire jeudi :(
5 Commentaire de Garfieldd -
« Tu pourrais attendre vendredi pour mourir »
@kozlika : j’aime ton pragmatisme :)
Ça me rappelle le sketch des par les inconnus :
Je vais me suicider
Oui mais conduis nous en boîte d’abord !
6 Commentaire de jacky Jennssens -
Oupsss … Promis, je ne recommence pas … quoique … non, rien.
7 Commentaire de Noé -
Pauvre Henri ! Tous ces efforts pour qu’un gougnafier vautre son tank
8 Commentaire de Esteban -
Courage Henri. Tu as le soutien de la direction.
9 Commentaire de Avril -
C’était à prévoir, ça a chié des bulles !
Kozlika : :’D J’ai ri, j’ai ri ! Un commentaire digne d’une sale môme, ça aussi ;)